« Monsieur Durand, vous savez combien vous perdez chaque année à cause de vos anciennes fenêtres ? » Cette question, je l’ai posée la semaine dernière à un client de Sanary-sur-Mer qui se plaignait de factures énergétiques astronomiques. Sa réponse m’a fait sourire : « Aucune idée, mais ça doit être énorme vu ce que je paie ! »
Il n’avait pas tort. Selon l’ADEME (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Énergie), les fenêtres représentent 10 à 15% des déperditions thermiques d’une habitation. Dans le Var, avec nos étés torrides et nos hivers parfois rigoureux, ce pourcentage peut même grimper à 20% pour les maisons mal isolées.
Après plus de 30 ans à équiper les Varois en menuiseries aluminium et fenêtres PVC, je peux vous affirmer une chose : l’isolation de vos fenêtres, c’est l’investissement le plus rentable que vous puissiez faire pour votre confort et votre portefeuille.
Tenez, prenez l’exemple de Madame Garcia à Six-Fours-les-Plages. Quand nous avons remplacé ses 12 fenêtres simple vitrage par des menuiseries PVC haute performance l’année dernière, elle a divisé sa facture énergétique par deux ! « Je ne pensais pas que la différence serait si spectaculaire », m’avouait-elle récemment. « L’hiver, je chauffe moins, l’été, je climatise moins. C’est du bonheur ! »
Cette transformation, elle n’est pas magique. Elle repose sur des principes physiques simples mais cruciaux, surtout dans notre région méditerranéenne où les écarts de température peuvent être extrêmes. Entre les 40°C à l’ombre de juillet et les -5°C de février dans l’arrière-pays, vos fenêtres sont en première ligne pour maintenir votre confort intérieur.
Pourquoi l'isolation des fenêtres est-elle cruciale dans le Var ?
Les spécificités du climat méditerranéen varois
Le Var, c’est un climat méditerranéen avec ses particularités bien marquées. Des étés chauds et secs où le thermomètre peut dépasser 35°C pendant des semaines, des hivers doux mais parfois ponctuellement rigoureux, surtout dans l’arrière-pays. Et puis il y a le mistral, ce vent du nord-ouest qui peut transformer une journée douce en épreuve de résistance !
« L’hiver dernier, avec l’épisode de froid de février, mes anciennes fenêtres laissaient passer des courants d’air glacials », se souvient Pierre Leconte, propriétaire à Draguignan. « Ma femme portait trois pulls dans le salon ! Depuis qu’on a changé nos menuiseries, on vit en tee-shirt même par grand froid. »
Cette variabilité climatique, elle met vos fenêtres à rude épreuve. L’été, elles doivent faire barrière à la chaleur écrasante tout en laissant passer la lumière. L’hiver, elles doivent conserver précieusement chaque calorie tout en résistant aux assauts du mistral. Un défi technique que seules des menuiseries performantes peuvent relever.
Selon Météo-France, le département du Var connaît des amplitudes thermiques annuelles pouvant dépasser 45°C, avec des pointes à 42°C l’été et des minimales à -8°C l’hiver dans certaines communes de l’arrière-pays. Pour vos fenêtres, c’est un test de résistance permanent !
L'impact des déperditions thermiques sur votre budget
Les chiffres parlent d’eux-mêmes. Dans une maison varoise typique des années 1970-1980, les fenêtres simple vitrage peuvent représenter jusqu’à 25% des déperditions énergétiques totales. Concrètement, sur une facture annuelle de 2 000 euros, ce sont 500 euros qui s’envolent littéralement par vos fenêtres !
« Avant la rénovation de nos menuiseries, nous dépensions 180 euros par mois en électricité l’hiver », calcule Robert Fernandez, propriétaire d’une villa de 120 m² à Toulon. « Maintenant, c’est 110 euros. L’économie de 70 euros par mois, ça fait 840 euros par an ! »
Cette hémorragie énergétique, elle s’explique par plusieurs phénomènes physiques. La conduction thermique d’abord : la chaleur passe directement à travers le vitrage et les profilés. La convection ensuite : l’air chaud s’échappe par les défauts d’étanchéité. Le rayonnement enfin : les surfaces froides créent des sensations d’inconfort même quand l’air ambiant est chauffé.
L’Institut National de la Statistique et des Études Économiques (INSEE) estime que les ménages français consacrent en moyenne 8,5% de leur budget à l’énergie du logement. Dans le Var, avec nos besoins de climatisation estivale, ce pourcentage peut grimper à 12-15% pour les logements mal isolés.
Le confort thermique : bien plus que la température
L’isolation des fenêtres, ce n’est pas que des économies d’énergie. C’est surtout une question de confort au quotidien. Vous avez déjà ressenti cette sensation désagréable de froid près d’une fenêtre, même quand votre chauffage tourne à plein régime ? C’est ce qu’on appelle l’effet de paroi froide.
« Avant, impossible de s’asseoir près de la baie vitrée du salon l’hiver », raconte Sylvie Olivier de La Garde. « Même avec 22°C dans la pièce, on avait froid. Maintenant, c’est l’endroit préféré de mes petits-enfants pour jouer ! »
Ce phénomène s’explique par le rayonnement thermique. Votre corps émet naturellement de la chaleur vers les surfaces environnantes. Si ces surfaces sont froides (comme une fenêtre mal isolée), vous ressentez une sensation de froid même si l’air ambiant est chaud. C’est pourquoi vous pouvez avoir froid dans une pièce chauffée à 20°C si les fenêtres sont mal isolées.
L’été, c’est l’inverse : des fenêtres qui laissent passer la chaleur créent des zones de surchauffe inconfortables. « Notre salon était invivable l’après-midi », se souvient Marie Torres de Hyères. « Même avec la climatisation, il faisait 28°C près des fenêtres. Depuis la rénovation, température homogène partout ! »
L'isolation hivernale : votre rempart contre le froid varois
Comprendre les mécanismes de perte de chaleur
L’hiver dans le Var, c’est souvent trompeur. Des journées douces à 15°C peuvent alterner avec des nuits à 2°C, surtout dans l’arrière-pays. Et quand le mistral s’en mêle, la sensation de froid peut être saisissante ! Vos fenêtres deviennent alors votre première ligne de défense contre ces agressions thermiques.
Les déperditions hivernales se font selon trois modes principaux. La conduction d’abord : la chaleur traverse directement le vitrage et les profilés. Plus le matériau est conducteur, plus les pertes sont importantes. C’est pourquoi l’aluminium sans rupture de pont thermique est catastrophique l’hiver !
« Mes anciennes fenêtres alu des années 80 étaient de vrais radiateurs à l’envers », se marre François Petit de Draguignan. « L’hiver, elles étaient glacées au toucher. On perdait toute la chaleur par conduction ! »
La convection ensuite : l’air chaud de votre maison s’échappe par les défauts d’étanchéité, remplacé par l’air froid extérieur. Un joint défaillant de quelques millimètres peut créer un courant d’air permanent ! Selon le Centre Scientifique et Technique du Bâtiment (CSTB), un défaut d’étanchéité de 1 cm² peut générer des déperditions équivalentes à 1 m² de mur mal isolé.
Le rayonnement enfin : vos murs intérieurs et votre mobilier émettent leur chaleur vers les surfaces froides des fenêtres. C’est un phénomène invisible mais redoutablement efficace pour refroidir votre intérieur !
Les solutions techniques pour l'hiver varois
Pour lutter efficacement contre ces déperditions hivernales, plusieurs solutions techniques s’offrent à vous. Le double vitrage d’abord, devenu le minimum syndical. Deux verres séparés par une lame d’air ou de gaz rare (argon, krypton) qui fait office d’isolant thermique.
« Quand on a remplacé nos fenêtres simple vitrage par du double vitrage, la différence a été immédiate », témoigne Claude Garcia de Sanary. « Plus de condensation le matin, plus de sensation de froid près des fenêtres. Et nos factures de chauffage ont chuté de 30% ! »
Mais attention, tous les doubles vitrages ne se valent pas ! Dans le Var, je recommande systématiquement du double vitrage à isolation renforcée (VIR) avec une couche faiblement émissive. Cette couche microscopique réfléchit la chaleur vers l’intérieur tout en laissant passer la lumière.
Le triple vitrage, c’est encore mieux mais pas toujours justifié dans notre climat. « Pour ma maison d’architecte très vitrée à Cotignac, j’ai opté pour du triple vitrage », explique Martine Olivier. « L’hiver, même par -5°C, température homogène partout. Investissement rentabilisé en 6 ans ! »
Les profilés aussi jouent un rôle crucial. L’aluminium à rupture de pont thermique ou le PVC multichambre offrent d’excellentes performances d’isolation. « Nos profilés PVC 7 chambres atteignent des coefficients d’isolation de 0,9 W/m²K », précise notre responsable technique. « C’est trois fois mieux que l’ancien simple vitrage ! »
L'étanchéité : le détail qui change tout
L’étanchéité, c’est souvent le maillon faible des fenêtres vieillissantes. Des joints usés, des mécanismes déréglés, et c’est l’hémorragie énergétique assurée ! Dans le Var, avec les variations thermiques et les UV intenses, les joints vieillissent plus vite qu’ailleurs.
« Nos anciennes fenêtres avaient 20 ans », raconte Pierre Torres de Bandol. « Les joints étaient durs comme du bois, ils ne faisaient plus l’étanchéité. Résultat : courants d’air permanents et factures de chauffage qui explosaient ! »
Une fenêtre bien étanche, c’est d’abord des joints de qualité adaptés à notre climat. Nous utilisons des joints EPDM (éthylène-propylène-diène monomère) spécialement formulés pour résister aux UV et aux variations thermiques. Durée de vie garantie : 25 ans minimum !
Les systèmes de verrouillage multipoints améliorent aussi considérablement l’étanchéité. « Avec 5 points de fermeture sur mes nouvelles fenêtres, l’étanchéité est parfaite », confirme Nathalie Fernandez de Hyères. « Plus le moindre courant d’air, même par grand mistral ! »
L'isolation estivale : votre bouclier contre la canicule
Le défi de la surchauffe dans le Var
L’été dans le Var, c’est souvent un défi pour maintenir la fraîcheur dans nos maisons. Quand le thermomètre affiche 38°C à l’ombre et que le soleil tape sur vos fenêtres exposées sud, votre intérieur peut vite se transformer en fournaise ! Sans protection adaptée, la température peut grimper à 35°C dans les pièces les plus exposées.
« L’été dernier, pendant la canicule, il faisait 32°C dans notre salon malgré la climatisation qui tournait à fond », se souvient Robert Leconte de Six-Fours. « Nos anciennes fenêtres laissaient passer toute la chaleur. Résultat : 250 euros de facture EDF en juillet ! »
Cette surchauffe estivale, elle s’explique par l’effet de serre créé par vos fenêtres. Le rayonnement solaire traverse le vitrage, se transforme en chaleur à l’intérieur, mais ne peut plus ressortir. C’est exactement le même principe qu’une serre de jardinier !
Selon l’Observatoire National sur les Effets du Réchauffement Climatique (ONERC), les températures estivales dans le Sud-Est de la France ont augmenté de 1,5°C en 30 ans. Dans le Var, nous battons régulièrement des records de chaleur. L’été 2023, nous avons eu 47 jours consécutifs au-dessus de 30°C !
Les solutions contre la chaleur estivale
Pour lutter contre cette surchauffe, plusieurs solutions techniques existent. Le vitrage à contrôle solaire d’abord, véritable révolution pour notre région ! Cette technologie utilise une couche métallique microscopique qui réfléchit les rayons infrarouges (la chaleur) tout en laissant passer la lumière visible.
« Avec notre nouveau vitrage à contrôle solaire, nous avons gagné 4°C dans le salon l’été », calcule Sylvie Garcia de La Garde. « Plus besoin de fermer les volets en journée, nous gardons la lumière tout en bloquant la chaleur. Génial ! »
Ce type de vitrage peut rejeter jusqu’à 70% de l’énergie solaire tout en conservant 70% de la transmission lumineuse. Résultat : vos pièces restent lumineuses mais fraîches, même en plein soleil ! « Notre facture de climatisation a baissé de 40% depuis l’installation », confirme Marie Olivier de Sanary.
Les volets roulants extérieurs constituent aussi une protection efficace. Installés à l’extérieur, ils bloquent le rayonnement solaire avant qu’il n’atteigne le vitrage. « Nos volets roulants motorisés se ferment automatiquement quand il fait trop chaud », explique François Torres de Toulon. « Programmés pour se fermer à 28°C et s’ouvrir à 25°C. Confort automatique ! »
L'orientation et l'exposition : facteurs cruciaux
Dans le Var, l’orientation de vos fenêtres détermine largement vos besoins en protection solaire. Une exposition sud peut recevoir jusqu’à 1 000 watts par mètre carré en été ! C’est l’équivalent d’un radiateur électrique de 1 000 W par m² de fenêtre.
« Notre baie vitrée de 10 m² exposée plein sud, c’était comme avoir 10 radiateurs allumés en permanence l’été », image Pierre Petit de Hyères. « Avec le nouveau vitrage à contrôle solaire, nous avons divisé les apports de chaleur par trois ! »
L’exposition ouest, elle, est particulièrement redoutable l’après-midi. Le soleil couchant, plus bas sur l’horizon, frappe directement les fenêtres avec un angle d’incidence optimal. « Nos chambres à l’ouest étaient inhabitables après 16h l’été », témoigne Claude Fernandez de Draguignan. « Maintenant, avec les bonnes protections, température supportable toute la journée. »
L’exposition est aussi présente des défis spécifiques. Le soleil levant peut créer des éblouissements gênants et des surchauffes matinales. « Notre cuisine à l’est était un four dès 7h du matin l’été », se souvient Nathalie Torres de Bandol. « Les nouvelles fenêtres avec vitrage sélectif ont résolu le problème. »
Les technologies d'isolation modernes
Le triple vitrage : révolution ou gadget ?
Le triple vitrage fait débat dans le Var. Certains le considèrent comme indispensable, d’autres comme superflu dans notre climat méditerranéen. La vérité, comme souvent, se situe entre les deux ! Tout dépend de votre situation spécifique.
« Pour ma maison bioclimatique à Cotignac, le triple vitrage était indispensable », explique Martine Garcia, architecte. « Avec 40% de surfaces vitrées, l’isolation thermique était cruciale. L’hiver, même par -5°C, confort parfait sans surchauffe. »
Le triple vitrage offre des performances d’isolation exceptionnelles : coefficient Uw pouvant descendre à 0,6 W/m²K contre 1,4 W/m²K pour un double vitrage standard. Mais cette performance a un coût : 40 à 60% plus cher qu’un double vitrage haute performance.
Dans le Var, je recommande le triple vitrage dans certaines situations spécifiques : maisons très exposées au mistral, habitations de l’arrière-pays où les hivers sont plus rigoureux, bâtiments à haute performance énergétique (RT 2012, RE 2020). « Pour notre maison passive à Aups, le triple vitrage était obligatoire pour atteindre les performances requises », confirme Robert Olivier.
Attention cependant : le triple vitrage est plus lourd (45 kg/m² contre 25 kg/m² pour du double vitrage) et transmet moins de lumière (70% contre 80%). « Dans notre salon exposé nord, le triple vitrage assombrit un peu la pièce », note Pierre Leconte de Toulon. « Mais le confort thermique compense largement ! »
Les gaz de remplissage : argon, krypton et xenon
Entre les verres de votre double ou triple vitrage, l’air peut être remplacé par des gaz rares aux propriétés isolantes supérieures. L’argon d’abord, le plus courant, améliore l’isolation de 10% par rapport à l’air. Le krypton, plus performant mais plus cher, gagne encore 15%. Le xénon, exceptionnel mais hors de prix pour un usage domestique !
« Nos doubles vitrages à l’argon atteignent des performances proches du triple vitrage classique », explique notre responsable technique. « Excellent compromis performance-prix pour le climat varois. »
Ces gaz, plus denses que l’air, réduisent les mouvements de convection dans l’espace inter-vitres. Résultat : moins de transfert de chaleur, meilleure isolation ! L’argon, inerte et non toxique, conserve ses propriétés pendant toute la durée de vie du vitrage.
« Impossible de voir la différence à l’œil nu », rassure Sylvie Torres de Sanary. « Mais au niveau confort et factures, l’amélioration est nette. Nos nouvelles fenêtres argon nous font économiser 200 euros par an. »
Les films et traitements spéciaux
Les traitements de surface révolutionnent les performances du vitrage. Les couches faiblement émissives (Low-E) réfléchissent la chaleur tout en laissant passer la lumière. Appliquées sur la face interne du verre extérieur, elles renvoient la chaleur intérieure vers l’intérieur l’hiver.
« Nos vitrages Low-E améliorent l’isolation de 40% par rapport à un double vitrage classique », chiffre notre bureau d’études. « Et c’est totalement invisible ! La couche fait 15 nanomètres d’épaisseur. »
Les traitements autonettoyants gagnent aussi en popularité dans le Var. Une couche de dioxyde de titane décompose les salissures organiques sous l’action des UV, puis la pluie évacue les résidus. « Nos baies vitrées autonettoyantes restent propres toute l’année », apprécie Marie Petit de Bandol. « Fini le nettoyage fastidieux des grandes surfaces ! »
Les films anti-effraction, enfin, renforcent la sécurité sans nuire à l’isolation. « Nos vitrages feuilletés résistent aux tentatives d’effraction tout en conservant d’excellentes performances thermiques », assure notre responsable sécurité.
L'impact sur votre facture énergétique
Calculs concrets d'économies dans le Var
Parlons chiffres ! Dans une maison varoise typique de 120 m² avec 15 m² de fenêtres, le passage du simple au double vitrage performant peut générer des économies spectaculaires. Prenons l’exemple concret de la famille Bertrand à Toulon.
Situation avant rénovation : 12 fenêtres simple vitrage, facture énergétique annuelle 2 400 euros (1 200 euros chauffage hiver, 1 200 euros climatisation été). Après installation de fenêtres PVC double vitrage VIR : facture réduite à 1 680 euros, soit 720 euros d’économie annuelle !
Selon l’ADEME, le remplacement de fenêtres simple vitrage par du double vitrage performant peut réduire les besoins de chauffage de 10 à 15% dans une maison bien isolée par ailleurs.
Choisir ses fenêtres pour une isolation optimale
PVC vs Aluminium : le match de l'isolation
Pour l’isolation thermique, le PVC part avec un avantage naturel. Matériau plastique multichambre, il isole naturellement bien mieux que l’aluminium conducteur. Mais attention, les progrès techniques ont considérablement réduit cet écart !
« Nos fenêtres PVC 7 chambres atteignent des coefficients d’isolation de 0,9 W/m²K », détaille notre responsable technique. « C’est excellent pour le climat varois, et le coût reste raisonnable. »
L’aluminium à rupture de pont thermique rattrape son retard grâce à des barrettes isolantes de plus en plus performantes. « Nos profilés alu haut de gamme descendent à 1,1 W/m²K », précise notre bureau d’études. « Quasi équivalent au PVC, avec l’esthétique moderne en plus. »
Dans le Var, le choix dépend souvent de l’exposition et du budget. « Pour mes fenêtres exposées aux embruns à Sanary, j’ai choisi l’aluminium Qualimarine », explique Claude Petit. « Plus cher mais indispensable face à la corrosion marine. »
Le mixte bois-aluminium offre le meilleur des deux mondes : isolation du bois à l’intérieur, résistance de l’aluminium à l’extérieur. « Pour ma maison d’architecte, le mixte était parfait », confirme Martine Garcia de Cotignac. « Performances thermiques exceptionnelles et esthétique haut de gamme. »
Les critères techniques à surveiller
Le coefficient Uw (Window), c’est votre boussole pour choisir des fenêtres isolantes. Plus il est bas, mieux c’est ! Dans le Var, je recommande un Uw inférieur à 1,4 W/m²K minimum, idéalement sous 1,2 W/m²K pour les expositions difficiles.
« Nos meilleures fenêtres descendent à 0,8 W/m²K », précise notre conseiller technique. « Performance de triple vitrage avec du double vitrage haute technologie. Parfait pour le climat varois ! »
Le facteur solaire (g), crucial l’été, indique le pourcentage d’énergie solaire qui traverse le vitrage. Plus il est bas, moins vous avez de surchauffe estivale. « Nos vitrages à contrôle solaire ont un facteur g de 0,35 », détaille notre spécialiste. « 65% de l’énergie solaire est rejetée ! »
La transmission lumineuse (TL), enfin, préserve la luminosité naturelle. Inutile d’avoir des fenêtres super isolantes si elles assombrissent vos pièces ! « Nos vitrages haute performance conservent 75% de transmission lumineuse », rassure notre responsable produit.
L'importance de la pose : 50% du résultat !
Attention, les meilleures fenêtres du monde ne servent à rien si elles sont mal posées ! L’étanchéité à l’air, l’isolation périphérique, la gestion des ponts thermiques : tout se joue au moment de l’installation.
« Nous utilisons des mousses polyuréthane expansives pour l’isolation périphérique », explique notre chef d’équipe. « Plus de ponts thermiques, étanchéité parfaite. C’est la différence entre un professionnel et un bricoleur ! »
Les membranes d’étanchéité extérieures protègent de l’eau tout en laissant respirer la structure. « Nos membranes HPV (Hautement Perméables à la Vapeur) évitent les condensations dans l’isolant », précise notre responsable technique.
« La pose Var Pose Alu, c’est du travail d’orfèvre », témoigne François Olivier de Bandol. « Ils ont passé une journée entière sur mes 3 fenêtres. Résultat : étanchéité parfaite, isolation optimale. Ça vaut le coup de faire appel à des vrais pros ! »
Pour en bénéficier, il faut soit remplacer au moins la moitié des fenêtres, soit atteindre une performance énergétique globale minimale. « Nous étudions l’éligibilité de chaque projet », assure notre conseiller financier.
Var Pose Alu : votre expert isolation dans le Var
Plus de 30 ans d'expertise dans l'isolation thermique
Depuis 1998, nous accompagnons les Varois dans leurs projets d’amélioration énergétique. Cette expérience nous a appris une chose essentielle : chaque maison, chaque exposition, chaque famille a des besoins spécifiques en matière d’isolation.
« Ils ont tout de suite cerné nos problématiques », témoigne Marie Torres de La Garde. « Maison des années 70, exposition sud-ouest, problèmes de surchauffe l’été. Leurs solutions ont parfaitement répondu à nos besoins. »
Cette expertise locale, nous la devons à nos milliers de chantiers dans le département. Nous connaissons les spécificités de chaque commune, les contraintes climatiques et réglementaires, les habitudes de vie des Varois.
« Leur connaissance du terrain fait toute la différence », confirme Pierre Petit de Sanary. « Ils savent quels vitrages choisir selon l’exposition aux embruns, comment adapter la pose au mistral. Une expertise qu’on ne trouve pas chez les grandes enseignes nationales. »
Des solutions sur mesure pour chaque projet
Chez Var Pose Alu, pas de solutions toutes faites ! Chaque projet fait l’objet d’une étude personnalisée pour optimiser l’isolation selon vos contraintes spécifiques. Exposition, architecture, budget, habitudes de vie : nous prenons tout en compte.
« Ils ont étudié l’orientation de chaque fenêtre pour adapter le type de vitrage », détaille Claude Garcia de Hyères. « Contrôle solaire au sud, isolation renforcée au nord, acoustique côté route. Du sur-mesure parfait ! »
Nos conseillers techniques se déplacent gratuitement pour analyser votre situation. Thermographie infrarouge, mesure des déperditions, calcul des gains potentiels : nous quantifions précisément les bénéfices de la rénovation.
« Leur étude thermique m’a bluffé », avoue François Torres de Toulon. « Ils ont identifié précisément les points faibles de mes fenêtres et chiffré les économies possibles. Très professionnel ! »
Un showroom pour tout comprendre
Notre showroom de 700 m² à La Seyne-sur-Mer vous permet de voir et toucher nos solutions d’isolation. Plus de 50 fenêtres exposées, comparaisons techniques, démonstrations : tout pour comprendre les enjeux de l’isolation !
« Voir la différence entre simple et double vitrage, c’est parlant ! », confirme Sylvie Olivier de Bandol. « Ils ont même une caméra thermique pour montrer les déperditions. Très pédagogique ! »
Nos conseillers vous expliquent concrètement les bénéfices de chaque technologie. Vitrage à contrôle solaire, gaz argon, profilés haute performance : vous repartez avec toutes les clés pour choisir en connaissance de cause.
FAQ : vos questions sur l'isolation des fenêtres
Vous pouvez gagner 2 à 4°C de confort ressenti l’hiver et éviter 3 à 5°C de surchauffe l’été. L’effet paroi froide disparaît complètement avec des fenêtres performantes.
Dans le Var, comptez 15 à 25% d’économie sur vos factures énergétiques selon la configuration initiale. Sur une facture de 2 000€/an, ça représente 300 à 500€ d’économie annuelle.
Pas systématiquement. Un double vitrage haute performance suffit dans la plupart des cas. Le triple vitrage se justifie pour les maisons très exposées au mistral ou à haute performance énergétique.
Tout dépend de leur qualité initiale et de leur entretien. Faites vérifier l’étanchéité des joints et les mécanismes. Des réglages peuvent parfois suffire à retrouver les performances d’origine.
Partiellement, en changeant les joints, ajoutant des survitrage ou des films isolants. Mais le remplacement complet reste la solution la plus efficace pour des gains significatifs.
25 à 30 ans pour des menuiseries de qualité bien entretenues. Les joints peuvent nécessiter un remplacement après 15-20 ans selon l’exposition.
Souvent, mais pas toujours ! Un vitrage thermique peut être moins performant acoustiquement. Nous proposons des vitrages spécialement conçus pour cumuler les deux performances.
Nettoyage régulier des joints, graissage annuel des mécanismes, vérification de l’étanchéité. Nous fournissons un guide d’entretien détaillé avec chaque installation.
Vous voulez améliorer l’isolation de votre maison varoise ? Découvrez nos fenêtres PVC et fenêtres aluminium haute performance dans notre showroom de La Seyne-sur-Mer. Nous proposons aussi des baies vitrées et des volets roulants pour une isolation complète. Contactez-nous pour une étude thermique gratuite et personnalisée.
